
Claire Desbois & Nicolas Rocca
pour la 4e circonscription du Nord
Avec Volt, vous donnez votre voix non seulement à un parti qui s'engage localement pour la métropole, mais aussi à un mouvement pan-européen qui trouve des réponses communes à des défis communs avec des élus au Parlement européen et dans toute l'Europe.
Financement de la campagne
Impression des bulletins (50k par tour) | 500€ |
Circulaire (50k) | 1500€ |
Claire Desbois

Bonjour, je m'appelle Claire et je suis actuellement en train de déménager de l'Aisne pour Lille.
J'ai une formation dans le commerce international avec une spécialité en stratégie, finances et ressources humaines.
Je suis active dans Volt depuis un certain temps maintenant, car je crois en la nécessité d'une perspective plus européenne et internationale mais pas uniquement au niveau de notre économie; je pense également que nous avons besoin de plus d'implication des citoyens dans la politique.
Les trois sujets qui me tiennent à cœur sont la poursuite de l'intégration de l'Union Européenne, les droits des femmes et l'écologie.
Nicolas Rocca

Je m'appelle Nicolas et je suis le remplaçant de Claire. Originaire de Marseille, j'ai choisi de m'installer à Lille où je travaille dans le développement de logiciels.
Je suis un membre actif de l'équipe locale de Volt et j'aimerais que nous ayons plus de visibilité dans la métropole, c'est pourquoi je me présente aux élections législatives.
Les trois sujets qui me tiennent particulièrement à cœur sont l'éducation, les soins de santé et la défense; ces trois domaines ont en effet besoin d'une perspective beaucoup plus européenne à l'avenir.
Priorités
1. L'intégration Européenne dans la métropole
L'idée de l'Europe est de créer des liens avec nos voisins et la circonscription en a largement l'occasion. Comme nous vivons dans une région frontalière, nous aimerions au niveau local, faire de l'Europe l' une de nos priorités. Cela signifie :
- Développer notre système de santé transfrontalier. À l'instar du projet Mosar entre la France et l'Allemagne, qui permet l'utilisation des hôpitaux des deux côtés de la frontière, nous aimerions mettre en place un projet similaire avec la Belgique pour les médecins généralistes et spécialistes. En combinant les ressources des deux côtés de la frontière on peut lutter contre les déserts médicaux, tout en s'attaquant aux problèmes sous-jacents (planification insuffisante du nombre de médecins nécessaires).
- Introduire une perspective plus européenne dans notre système éducatif. Il s'agit par exemple de développer les moyens d'échanges scolaires transfrontaliers et d'intégrer l'Europe et l'histoire européenne dans les programmes scolaires.
- Veiller à ce que nos secteurs culturels, touristiques et économiques bénéficient de la proximité de la frontière. Le financement de l'UE exige généralement au moins deux participants de deux États membres de l'UE. Nous aimerions introduire des programmes frontaliers qui familiarisent les acteurs des régions frontalières avec la disponibilité des programmes et les possibilités d'entreprendre des projets. Cela ira de pair avec une révision des compétences des EPCI et intercommunalités (ainsi que leur élection démocratique) et un réalignement fondé sur les principes de subsidiarité, ce qui pourrait par exemple signifier qu'une commune pourrait financer des pistes cyclables transfrontalières ou le réaménagement touristique d'un canal.
2. Les droits des femmes
Nous avons encore beaucoup de chemin à parcourir pour ce qui concerne l'égalité entre les femmes et les hommes et, bien qu'il s'agisse plutôt d'un sujet au niveau national, il peut également avoir un impact dans la circonscription. Il s'agit de se battre sur deux fronts : contre les violences domestiques et pour plus d'égalité :
- Instaurer un réseau de maisons de femmes et de commissariats de police pour les femmes avec un personnel spécifiquement qualifié. De nombreux pays dans le monde disposent de ce type de point d'accès pour les femmes qui cherchent une protection ou un recours juridique et nous aimerions fournir les moyens financiers nécessaires pour développer un tel réseau.
- Introduire une législation interdisant aux délinquants sexuels condamnés d'être élus à des fonctions publiques. Nous ne pouvons pas espérer que la mentalité de notre société change si nous ne condamnons pas les délinquants sexuels indignes d'occuper une fonction publique.
- Ajuster les salaires des emplois où les femmes sont plus nombreuses que les hommes - notamment dans la santé et l'éducation. Une réévaluation économique de toutes les professions à prédominance féminine est nécessaire pour que les femmes soient payées autant que les hommes. Par exemple, parmi beaucoup d'autres, les femmes représentent 90,4% des infirmières, 87,7% des sages-femmes et 65,7% des enseignants en France. Ces métiers du soin et de l'éducation, très féminisés, ont été cruciaux pour la France ces deux dernières années et les salaires doivent le refléter.
3. L'écologie
Nous ne commençons qu'à percevoir les effets du changement climatique et selon le rapport du GIEC, nous n'avons pas beaucoup de temps pour agir. Avec plusieurs projets de construction à grande échelle en cours dans la circonscription, un point sur lequel nous aimerions nous concentrer est la construction durable :
- Introduire une législation dans la planification urbaine qui exige que les projets de construction conduisent à l'autonomie des communes (par exemple en incluant des écoles ou des crèches). Nous devons nous assurer que ces projets ne rendront pas la voiture obligatoire pour emmener les enfants à l'école ou pour aller travailler. Nous aimerions également introduire le droit de travailler à domicile et fournir des programmes financiers pour la construction de pistes cyclables sécurisées dans les zones urbaines à forte densité.
- Introduire une législation qui limite les déchets de construction du BTP (parmi les plus élevés d'Europe) et qui récompense en même temps le recyclage des matériaux. Des pays comme le Danemark recyclent des briques pour réduire les émissions de CO2 aux projets de construction. Nous avons beaucoup de briques et au lieu de raser des quartiers entiers et de les reconstruire à partir de zéro, nous aimerions commencer à construire de manière plus durable.
- Faciliter la rénovation des bâtiments - pas seulement avec des incitations financières. Il y a 35 millions de bâtiments en France. Au rythme de 700 000 rénovations par an fixé par le gouvernement, il nous faudra 50 ans - ce n'est pas assez rapide. Qu'il s'agisse d'isolation, d'énergie solaire ou de réduction de l'empreinte énergétique des maisons, nous souhaitons simplifier la législation relative aux permis de rénovation et faire de la rénovation de notre parc immobilier existant un marché qui offre à la fois des possibilités d'emploi et des incitations pour les propriétaires.
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Évenements
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